J'aime pas les autres... (PV simple )

( j'ai dit merci mais bon )

Mais voyons voilà qu'elle essai de s'intéresser à moi. Mais pas trop histoire de rester normale....Enfin n'importe quoi.
Je me recouchai, en l'écoutant.

(Désolé j'avais pas vu, j'enchaine les rp depuis ce matin :S )

Je le fixa, il ne dit rien. C'était mieux comme ça.
Le jockey se leva et dit :

-Tu peux te relever, tu n'a quasiment rien.

Je me demandais s'il m'avait pas mené en bateau... Mais bon.

( xD mené en bâteau....Toow)

Je me relevai le jockey ne se soucia même pas de notre présence sur le terrain, je ricanais malgré la douleur, c'est bon je m'étais assez divertis pour aujourd'hui. Je traversa au pas tous le champs. Et je m'en chemina vers l'écurie. Et me remis dans le box et me coucha.

J'y crois pas ! J'écarquilla les yeux, indignée.
"Et en plus je me suis inquietée"
Je le rattrapa, rentra dans mon box et passa la tête par dessus le mur :

-J'y crois pas ! Tu m'a mené en bâteau ?

Je vis New Moon arriver, je hochai la tête, c'est drôle elle n'avait pas l'air dans son assiette.
Je levai les yeux vers elle et me leva, elle rentra dans son box. Elle me lança un truc absurde. Moi mentir ? Non mais elle se sent bien. Je fronçai les sourcils et lui répondit.

<< Tu vois, peut-être vaut mieux connaître les gens avant de dire des conner*es pareil

C'est normale qu'elle lance ça. Elle ne me connait pas, alors direct on se fait passer pour une c*nne. Je me recouchai affin de reposer mon antérieur.

Je le defia du regard, et je ne detourna pas, je soupira et dit avec une voix meurtrière :

-Alors pourquoi tu t'es levé comme si de rien était ? Et en riant en plus ?

Je n'avais toujours pas quitté sa face des yeux. C'est pas comme ça qu'on deviendrait ami.
Je ne sais même pas si j'en avais envi. Il faisait parti de ces chevaux qui ne comprenait rien.
Il ne mesurait pas les risques qu'il avait prit tout à l'heure, moi je les mesurais.
Bordel, je me suis inquiétée pour ce genre de cheval ?

Je roulai des yeux, à croire qu'elle se fou de moi. Je la regardai toujours avec innocence.

<< Arrête, j'allais pas rester la tout seul, fallait bien que j'aille rejoindre mon box, j'ai simplement rigoler parceque le jockey ne semblait pas se soucier qu'on sois tout deux dans le champs

Je baissai la tête pour la relever quelques secondes après.

<< Je sais je rigole pour rien !

Les étalons... Je les comprendrais jamais. Je soupira.
Puis je lui dis tout simplement :

-Si tu le dis.

J'avais à présent un air bouleversé. Pourquoi ? Je ne savais pas.

Je soupirai encore une fois, au fait j'aurais du rester la bas. J'aurais pu aller autre pars, enfin où elle ne m'aurait pas suivis du moins. Je fronçai les sourcils en cherchant quelque chose dans ma paille. Ensuite je relevai la tête et je levai un sourcils. Je détestait ce bruit, ou tous les chevaux se taisent et il n'y a que leur bruit de queue fouettant les mouches ou lorsqu'il absorbe l'eau....

Je fixais de nouveau le mur.
Je le deteste, je le hais profondement.
S'inquieter pour rien. Je soupir. Un soupir, inlassablement.
Ce cheval ne se ferait pas des amis comme ça. C'est sûr.

Je pouffai et soudain sortis du box en titubant. Je la regarda avec conviction et lui dit d'un ton sérieux.

<< Sache je ne mens jamais ! Jamais !

Je m'étais déplacer affin de la regarder de mes propres yeux et de lui dire ça en face.

Je me retourna quand il me parla. J'étais face à lui.
Je le fixa. Il me faisait un peu penser aux humains quand ils buvaient trop d'un liquide bizarre.
Ils parlaient bizarrement, disaient des betises et chancelaient. Parfois il recrachait quelque chose de... Beurk. Passons les details.

-Je te crois.

Je roulai des yeux. Elle semblait trop convaincue.

<< Oui sûrement....

Je me tourna et alla m'installer dans mon box. Aucune envie de la revoir. C'était quoi son soucis ?

J'ouvris à mon tour. Je me plaça devant lui.
Puis je dis avec certitude :

-Si, si je te crois.

Je l'écoutai. Comment elle pouvait me croire. Elle me détestait tout simplement.

<< Arrête tu me déteste

On ne peux pas croire à la sincérité de quelqu'un qu'on hais.

Je le regarda, droit dans les yeux. Puis detourna le regard mal à l'aise.

-Franchement si je te detestais autant, j'aurais même pas pris la peine de m'inquieter tout à l'heure.

J'aurais du me taire ! Il allait encore dire un truc désagréable, je le sentais.

J'inspirai un bon cou, lorsque je lâcha tout. Je levai un sourcils en la regardant. Et ensuite me rapprocha de mon box, ça ne servait à rien. En tout cas, pas beaucoup. Je regardai mon antérieur en repensant à la scène. Cette chute n'étaient pas prévu, je voulais juste avoir mal, à mon encolure et non à mon antérieur. Je rentrai dans le box en me prenant la moitié de la porte dans la g*eule et sur l'épaule. Je fis un écart en me sabrant légèrement et me prit la barre au-dessus qui délimitait l'auteur de la porte et qui lui permettait de coulisser. Mon antérieur droit se posa en premier, je poussa un petit hennissement à peine audible. C'était pas mon jour....La douleur me fis automatiquement changer de sabot, et je m'appuyai sur la gauche. On aurait pu associé le bruit de mes sabots à un étalon nerveux....C'était pas vraiment pareil, la. Ensuite je repris mon chemin vers mon box, en faisant gaffe cette fois.

Il ne dit rien. Pour une fois ! Je le fixais avec toujours d'intensité dans le regard.
Pas de la mechanceté. Juste un regard étonné.
Je lui dit avec un peu de curiosité dans la voix :

-Tu as mal à la jambe ?

Elle était plutôt doué pour comprendre les choses. Je voulais juste que cette porte se ferme toute seul ou que quelqu'un vienne le faire et me coucher affin de plus la voir. Et me mettre des bouchons dans les oreilles par la même occasion. Un rêve déjà à exaucer les amis. C'était juste pas possible. Je soupirai et me coucha tout de même. C'est drôle comme les rôles s'inversait.

<< Au moins ça tu l'as compris

Son ton m'agaçait... Je ne fis aucun commentaire. Je me contenta de me retourner.
Je lança par dessus mon épaule :

-Et ce stupide jockey n'a rien vu...

Je soupira puis bus un peu d'eau. Au loin j'entendais les tambourinages de chevaux qui attendaient leurs rations.
Je me rejouis peu à cette idée. J'avais pas faim et qui dit ration, dit médoc' de New Moon.
Un homme m'apporta ma nourriture, je n'y toucha pas. Sans ces medicaments, ma jambe se fragiliserait, je risquerais gros.
A quoi bon... J'avais perdu l'envie de vivre.

Ils arrivaient. Bientôt ils auraient fermer la porte. Tout ce vacarme, je m'en passais, me donnèrent vite fait mon espèce de nourriture, infecte. Je ne voulais même pas me lever. Rien que de rester comme ça la douleur était présente. La réponse de la jument m'étonna soudain. Je m'apaisa et fis un léger sourire soulager.

<< T'en fais pas pour moi

En même tant qui me disais qu'elle n'inquiétais pour moi, rien. L'odeur du foin en plus, la moitié retomba sur ma tête. je me secouai.

Je lui rendis son sourire, c'était de bon coeur en plus.
Un homme ouvrit la porte de mon box et dit :

-Bah alors ? Pourquoi tu mange pas ? C'est pas facile d'avaler des medoc', c'est sûr.

Je l'envoya valser avec un coup de cul et un hennissement effrayant.
Puis je redevins calme et rétorqua à ... Personne, vu qu'il était partit ce stupide lad.
Bref. Je regrettais qu'il soit venu, sachant que maintenant Simple était au courant.

Je fis une énorme grimace. je regardai mes membres. Attend pourquoi il cause de mecoc' lui ?! Je levai un sourcils. Sachant les réactions qu'elle pouvait avoir....Un peu imprévisible je ne dits rien et resta silencieux. On pourrait même croire que je suis mort. L'envie de manger me passa. La nuit était tomber désormais. Je ne voyait peut-être mon foin, mais je le sentais toujours en dessous de mon nez, me chatouillant. Je me retourna affin d'avoir ce picotement désagréable. Ma jambe ne s'était pas bouger depuis quelques heures maintenant et elle avait craquer. Ce me fis un mal de chien mais serra les dents.

Il le savait c'était sûr. Il serait le 2ème seulement. Pour moi c'était beaucoup trop.
En ce moment même je ne pensais qu'à une chose, un cheval. Celui qui habite mon coeur et ère dans mon esprit.
Je n'avais donc pas le temps ni même l'envie de revenir à la réalité pour voir le visage de Simple, de plus je ne pouvais pas connaître sa réaction : Pitié ? Je n'esperais pas cela. Je le redoutais seulement. Je risqua un regard vers lui... Doucement. Puis je ne vis aucune expression. Je souffla un bon coup puis regarda la ration avec la poudre dessus. Soit ça soit les piqures . Ni l'un... ni l'autre...

(out) ?